Une rencontre (Léopold)

Le jour était bien avancé. Les rues de la capitale française ne désemplissait pas. Les marchands vantaient les mérites de leurs produits, les passants vacaient à leurs occupations de la journée sans se soucier des autres, excepté quand il fallait àviter de leur rentrer dedans. Même si elle était beaucoup moins omniprésente que dans les Halles, la misère était partout. Très souvent, on croisait un ou plusieurs mendiants ou sans-abris. Des femmes et des enfants aux visages émaciés et à l'aspect maladif erraient comme des âmes en peine, demandant çà et là la charité à des personnes qui accéléraient leurs pas pour éviter d'avoir à leur donner de l'argent.
*Comment peut-on faire preuve d'autant de froideur et dégoïsme ?* se demandait le duc de Beaufort, dissimulé sous une grande capuche.
Le "Roi des Halles", comme on l'appelait, avait encore une fois quitté son domaine de Beaufort pour aller donner un peu d'argent aux plus démunis et à ceux qui s'occupaient de leur trouver de quoi vivre. Il y avait quelques personnes comme ça dans Paris, même avant la Fronde.
Le jeune homme savait qu'il était risqué pour lui de désobéir aux ordres de Louis, mais il ne faisait rien de mal. Il n'avait pas l'intention d'attiser une révolte, juste de donner à des gens mourant de faim l'occasion de se remplir un peu l'estomac. Il commença donc à faire la charité autour de lui, recevant en échange des "Dieu vous bénisse !" ou des "Merci, monsieur, merci de tout coeur !". Ces remerciements faisaient chaud au coeur du jeune noble. Il se mit même à fredonner un air qu'il aimait beaucoup, il en avait même une copie de la partition pour violon, chez lui. C'était un air fort agréable de Wolfgang Amadeus Mozart.
Tout à rêveries, il percuta un homme sans le vouloir.

Toutes mes excuses, monsieur ! Je ne vous avais point vu.

*aujourd'hui Léopold avais quitté Vienne pour aller visité Paris et voir comment c'est la bas si c'est la même chose a Vienne et en voyant des gens et des femmes et surtout des enfants qui demander au passant de l'argent ,bon Léopold il voulais être discret malgré qui voulais que ses enfants soit reconnue de tous il voulais pas se faire non plus remarquer et se dit qui la jamais vu autant de misére c'était bien la première fois qui voit ça et marche avec une capuche il voulais pas lui pose des question mais il avais comme même de la peine de voir des gens dans la misére et il donna juste deux ou trois pièces a une femme et sa fille et repris la route quand soudain un homme il était dans ses penser et lui rentre dedans et se retroune et le regarde et sa capuche tombé de sa tête*

_oh ne n'ai rien Mr faite attention la prochaine fois

La capuche de l'inconnu était tombé de sa tête suite à la collision. François regarda un peu son interlocuteur en réfléchissant: où l'avait-il déjà vu ? Et il avait déjà entendu le genre d'accent que l'homme avait. Son visage lui était vaguement familier

Excusez-moi, Monsieur, mais ne serions-nous pas déjà rencontrés ? demanda-t-il en relevant quelque peu sa propre capuche après avoir vérifié autour d'eux qu'il n'y avait pas de gardes.
Oh, pardonnez-moi mon impolitesse. Je me présente: François de Vendôme, duc de Beaufort.ajouta-t-il à voix basse pour ne pas se faire repérer.

*Léopold le regarde il avais pas vraiment déjà mis les pieds a Paris c'était la toute première fois pour lui, il avais tellement composer et écrit de chanson et il se douter un peut qu'elle le reconaître mais sans plus il était pas du genre a se faire remarquer mais comme voulais que ses enfants soit reconue il devrai faire tout pour eux, bon bref Léopold le regarde et il l'avais jamais vu *

_non je pense pas vous avoir déjà vu Mr

*il remis sa capuche comme même et l'écoute se présenter et laisse un petit sourire mais c'était assez rare *

_enchanter Mr je me présente Léopold Mozart

» Leopold Mozart est présent
» un sujet avec Leopold ??
» Va boire une bonne bière ( PV Léopold )