La fraicheur de cette endroit

* Depuis que le clown et là pour elle tous ce qu'elle veut elle lobtient mais est toujours impressionner, par sa carrure, essaye de retourner chez lui dans l'espoir qui n'apparaisse pas tout de suite
* Regarde les alentour scrutais les recoins

Je me baladais non loin d'ici, c'est alors que j'ai eu l'idée de retourner dans cet endroit qui attisait ma curiosité au plus au point. La porte de la maisonnette qui semblait très étroite de l'extérieur était ouverte, je m'aventura donc a son interieur. Je progressais donc à l'interieur de la maison, ne rencontrant personne, certes je n'avais pas l'habitude d'agir ainsi. J'arrivais donc dans une pièce par une porte, à l'interieur trônait un toboggan relié à une porte situé en hauteur. Je regarda autour de moi. C'est alors que je vis Nannerl. Je me dirigea prestemment vers elle, faisant une courte revérence comme le voulais la galanterie. J'étais étonné de la voir en ce lieu.

- Mademoiselle Mozart! Quelle surprise de vous voir ici! dis-je d'un ton neutre sans émotion particulière, tâché d'une fausse joie très bien simmulée.

- Antonio Salieri que faites vous ici, je pense pas sa soit endroit pour vous ici, je pense que la personne qui y réside va pas vous faire de cadeau et puis je crois que je vous ai dis ce que je pensais de vous et de votre fasson, d'agir nous sommes quitte, je crois
* S'assis, c'était faite rouler par lui, ne voulais pas lui pardonner, mais ressenti un truc au fon d'elle
Non Clown je ne lui parlerais pas ce n'est plus la peine, il ve de moi, pour tenter d'approcher mon frère et tenter de lui voler sur pourquoi son destin lui est destiner

- Et j'en suis bien désolé Mademoiselle, La fierté ne me fait pas profit de ce que je vous ai fait, mais voyez que d'un côté vous avez pu continuer de jouer.

Je la suivais du regard et la regardais aller s'asseoir. Je réfléchissais à un argument censé certes quelques peu menssonger mais que, cependant elle n'hésiterais pas à croire. Je fis quelques autres pas en sa direction, laissant tout de même une bonne distance entre nous.

- Vous ne savez pas à quel point j'aime la musique de votre frère, elle est remarquable. Mais seulement Mozart à su faire reconnaitre sa musique très vite. Moi... Sa fait presque dix ans que je me bats pour que la mienne soit respectée !

Je pris un air frustré sans trop me forcé. Il était vrai que j'aimais la musique de son frère, mais chose que je ne supportais point était de savoir que sa musique à plus de succès et plus respectée que celle que je produit depuis des années.

- Se redressa ce n'est pas une raison, pour profitez de moi et que je vous amène mon frère et son talent....
Je ne trahirais pas mon frère le seule te unique frère que j'ai celui à qui je deonnerai ma vie pour qu'il réussisse
* Nannerl se fis projeter et attiris dans la piscine à la balle
* Savais que ce n'étais que l'oeuvre du clown
- Je suis navrer Saliéri, mais je n'ai plus confiance en vous
* Dis-je en me relevant de la piscine à la balle totalement tranformer avec une nouvelle robe

Je me retourna, juste a tant pour l'appercevoir dans la piscine a balles avant que celle-ci en resorte, habilée d'une nouvelle robe. Je devais m'attendre a ce qu'elle ne m'accorde plus sa confiance, mais d'une manière où d'une autre j'arriverais à la regagner de nouveau. Je restais sur place, certes un peu étoné, cet endrois était réellement magique.

- Je m'en doute...

Je gardais un calme des plus désarment, qui aurait pu froler l'insolence. Mais j'étais certes très très sérieux.

- Mais sachez que j'au accomplis ma promesse en dépêchant le Compte Rosenberg, le priant de vous accorder un autre piano, un des meilleur... D'ailleurs , Vous plait-il ?

- Un piano qui ressemble é&trangement au ventre, si c'est comme sa que vous essayer de m'acheter c'est que vous connaissez très mal le caractère des Mozarts
* Nannerl lui en voulais terriblement c'est quand il se mis à pleurer qu'une larme tomba à terre quelle fus entouter d'une lumière qui fis de sa robe bleue encore une couleur totalement bleue

- Je vous ai fait apporter un des meilleurs piano, j'ai laisser le libre choix à Rosenberg de le choisir, il connais mon pointillement pour les choses de qualités...

Je la regardais, la voyant verser une larme. Ceci me fendit le coeur, je ne voulais pas en venir à la rendre triste où à la faire pleurer, loin de moi cette idée..

-Je n'essaye auccunement de vous acheter, du moins si je le faisait, je le ferais autrement croyez moi!

Sur ce faite, j'essayais de partir d'ici pour retourner dans mes appartements au palais, me morfondre un peu plus sur le prochain coup bas que je ferais à ce pauvre Wolfgang Amadeus Mozart. Sauf que, toutes les portes se refermèrent à mon nez lorsque je tentais de les franchirent pour sortir d'ici.

* Vis les porte se refermer
* Voulu bouger mais ne pouvais pas
- Saliéri ses cubes glisse toi en dessous
* Voulais pas qui se fasse envouter à cause de moi

Je me dirigeais vers les cubes dont cette très chère Nannerl parlait, mais je n'eus pas le temps nécésaire pour m'y cacher en dessous. Je ne pouvais plus bouger. Alors pris d'une fièrté trop grande pour avouer que j'avais tenter de me dissimuler, je regarda haut devant moi, Prenant un air froid et disosiable.

*Vis qui ne pouvais plus bouger
* Le regarda je suis désoler tout est de ma faute
* Vis des étoiles commencer à ce former en haut du tobbogan
- Saliéri je...... laisse moi te présenter le clown démoniaque
* Puis s'évanouie