Va voir Saliéri

* Avais recu une lettre du maestro Saliéri
* Frappa donc ....

Salierie avait appris que la ravissante jeune soeur du Grand Mozart s'était vu sans piano, sur ordre. Tout cela était donc parvenue à ses oreilles. Nannerl Mozart était une grande muscienne, certes pas aussi grande que son frère, mais elle l'égalait. Je lui avait donc envoyé une missive, lui recommandant de venir jusqu'au palais afin que nous puissions en discuter. J'entendis frapper, Je m'avança donc prestement vers la porte et la lui ouvrit dans une révérence galante comme il se le devait.

- Mademoiselle...

Je me redressa et lui laissa place pour passer.

- Entrez donc !

* Le regarda
- Je vous remercie
* Je rentra et découvrit le luxe la fierté
* Me senti petite

Je referma la porte dans un grand silence. Je regarda la soeur de mon ennemis jurer sans expression partiulière. Je lui désigna de la main la pièce contigüe ou je l'invitais à prendre place dans un fauteille.

- Honneur aux dames...

Je m'assied donc dans un fauteil, certes tout était luxe en ma demeure, image à la fièreté qui occupait mon esprit sans arrêt. De plus, depuis que Mozart s'évertuait à rendre sa musique plus officielle qu'était la mienne, je redoublais d'effort.

- Prennez donc place, On m'a dit que l'on vous avait conffisquer votre bien le plus précieu.

- Oui Roosemberg est venue chercher mon piano ce matin, je .....
* Une larme se mis à couler

Salierie regarda Nannerl de manière innébranlable, on aurait pus le dire sans coeur, mais en réalité, il était loin de ce mot. Un pulssion de colère le traversa.

- Rosemberg ! Ai-je bien entendu son nom ?! Celui-ci va m'entendre!

Je me radouccis et sorti d'une des poches cachées de ma veste un mouchoir de tissus blanc et le tendis à la jeune demoiselle.

- Prennez donc Mademoiselle.

En temps que compositeur attitré de sa majesté, qu m'avait fait demander de veiller à ce que la famille du jeune prodige Mozart ne manque de rien, je me devait de faire quelque chose pour la jeune et douce Nannerl.

* le regarda merci
* Essuya mes larmes
- La musique est le seule moyen pour moi d'exceller, depuis que Coleredo a fermer le théatre de vienne ni mon frère ni moi pouvaont exceller si seulement on pouvais trouver un endroit ou travailler

Je l'écoutais attentivement, il n'était pas mal pour moi que son frère ne puisse plus jouer, ce ci m'éviterais de demander à Rosemberg de faire interdire certaine de ses oeuvres à Viennes par le billet de sa Majesté.

- Et bien, puisque la musique vous tiens tant à coeur Mademoiselle, je vous offre de partager mon piano.

Je me leve et tendis mon bras à mademoiselleMozart.

- Suivez-moi donc...

* Le regarda
- Mais......
; Ne sais plus quoi dire

Je l'accompagna dans le salo où se trouvaitun magnique piano noir ébène, un des meilleur au monde. Je ricana en pensant qu'elle me trouvait donc sans coeur.

- Je vous trouve bien sévère Mademoiselle, croyez- vos vraiment que je suis un homme sans coeur, ni fois ni lois ?! Je repis mon sérieux.

Je désigna de la main le banc recouvert de velour rouge bordeaux qui était devant le piano pour qu'elle y prenne place. Je lui adressa un sourire crispé.

* Vis le piano
* Le seul piano sur lequel elle n'avais jamais exerer
* Ne pouvais que le remercier
- Monsieur Saliéri je ne vous remercierai jamais assez
* Lui souris
* Pris place se mis à jouer un air entrainant ses doigts courrais sur le piano, à une vitesse, on auraist dis que ses doigts était invisible
* Avais envie de montrer de quelle savais faire

Je vis sans problème son air gênée et sincère esquissé par un sourire remerciant.

- Mademoiselle, il est normal que je ne vous laisse pas dans une telle situation...

Je la regarda prendre place, et prêta une oreille attentive aux notes qu'elle jouait divinement bien. Elle jouait d'une légèreté incomparable.

* Nannerl continua a se laisser porter par les notes quelle jouait
* Ne vis pas Saliéri s'approcher d'elle et lui mette les mains sur l'épaule
* Quand il les senti elle se senti légèrement tressaillir

J'avais posé mes mains sur ses épaules comme pour l'encourager à continuer. Elle jouait divinement bien pour une femme, ce qui avait le don de m'étonner. Lorsqu'elle eu finis, j'ota mes mains de ses douce et frêles épaules et m'assied à ses cotés sur le banc du piano.

- Vous jouez Merveilleusement bien jeune demoiselle !

Le faite qu'elle jouait très bien n'était quelque part pas étonnant puisqu'elle était la soeur du prodige née Wolfgang Amadeus Mozart! Je lui adressa un de mes plus beau sourire.

- Je m'engage, Mademoiselle, à vous prendre sous mon aile si vous le souhaitez...

* Le regarde
- Vous feriez sa.....
- Monsieur Saliéri je suis la soeur de votre pire ennemi, et je veux pas perdre, le soutient de mon frère
* Est triste de nouveau

Je la regarda, voyant toute la tristesse dans ses yeux, il était hors de question pour moi que La soeur de Mozart se soumette à ma rancœur que j'entretenais contre son frère.

- Mademoiselle, je vous demande pas une telle chose, libre à nous de faire ce que nous voulons. Certes votre frère est mon rival, mais j'apprécie ses œuvres...

Je me leva du banc, contourna le piano pour me rendre à la fenêtre par laquelle je regarda à l'extérieur sans pour autant tourner complètement le dos à mon invitée.

- Mais Saliéri, je..... et puis quand bien même si j'acceptais, Colleredo si refusera
* Je suis bloquer

Je l'écoutais attentivement, comprenant très bien le mal qui l'habitait. sans musique elle n'était plus rien, et je l'avais très bien compris. C'était donc pour cela que je lui avait proposer de la prendre sous ma protection et de partager mon piano avec elle. Toute fois, cette proposition teindrais si Rosenberg refusait de se ranger de mon côté.

- Comme vous le savez ma chère amie, le comte Rosenberg se range très souvent de mon côté, je lui ferais donc par de ma pitié, et si celui-ci refuse, je m'opposerais à son opinion

- Me parler pas de ce stupide Rosemberg, qui se moque sans cesse de mon frère et qui le rabaisse, comme pas possible, mon frère à du talent et je compte l'aider aussi, mais ..... si je m'engage à ce que vous me preniez sur mon aile ne me demander pas, de vous ramener les compositions qui l'est entrain de faire

- je en vous demande aucunement cela, comme je vous l'ai dit, j'apprécie les composition de votre cher frère.

je la regarda, revenant vers le piano, Je la regardais dans les yeux.

- Je ferais par de mes souhaits à vous établir ici, a la cour... Et ne vous montrez pas sceptique mademoiselle, je sais me montrer très persuasif et je ne fait pas cela dans le but de démolir votre frère.

* Ne sais pas ce qui lui prend
* Lui prends la main
- Mon frère est tout pour moi

Elle me pris alors la main, comme pour me supplier de ne rien faire subir à son frère. De toutes les manières envisageable, je n'avais aucune envie de faire subir humiliation a son cher frère qui s'y adonnait parfaitement bien contre moi ses temps ci.

-Je le sais ma très chère. Et c'est bien pour cela que je vous garde sous ma protection. Il est inutile de salir votre frère par le faite que les rumeur ici vont vite, et que tous courtisant s' everturont à proclamée que Colleredo à réussi à supprimer le titre de musicienne à la sœur du prodige né qu'est Mozart.

- je vous remercie pour autant de compassion et de gentillesse et dire que l'on disiez de vous que vous n'aviez pas de coeur et bien, je serais bien la première à dire le contraire maintenant, je vous remercierais jamais assez pour tout

- Vous n'avez pas a me remercier mon amie, il est normal de rendre service à son prochain... Et si vous ne désirez pas que l'on salisse votre honneur, vous feriez mieux de dire vous aussi que je suis sans coeur, il vaudrait mieux encore que vous ne parliez à personne de ce que je vous accorde. Je tiens à en faire part sa Majesté et son suivant de vive voix, de cette manière, ils accepteront plus facilement disons ...

Je regardais Nannerl avec un regard de bonne grace. Je lui viendrais en aide

* Lui sourit
- Soyez sans crainte tout ceci resteront entre vous et moi, mais je ne vous en serz jamais que reconnaissante, votre gentillesse, votre dévotion, je ne l'oublierai jamais....
* Lui sourit
- J'attendrai que vous en parlier à vos supérieures, mais je ne veut pas vous causer de souci